The Wildlife Conservation Society (WCS) is building on its long-standing collaboration with the Republic of the Congo's government to work together to identify key biodiversity areas (KBAs) in a country incredibly rich in biodiversity. The one-year KBAs identification program, launched officially on October 11th, aims to provide the precise location of places that contribute significantly to the global persistence of biodiversity.
KBAs can accelerate efforts to reverse the loss of nature by providing governments, private sector actors and others with an accurate data set to better inform future spatial planning decisions and their impact on biodiversity. KBAs also aim at enabling entities that may have negative impacts on nature to avoid or reduce those impacts in the places they would be most damaging.
No less than six ministries were attending the launch of the program in Brazzaville, including the ministries of hydrocarbons, mines, and forestry economy.
“This is proof of our commitment to the conservation of the biodiversity of our country's terrestrial, aquatic, coastal and marine ecosystems,” noted on this occasion the Minister of the Environment, Sustainable Development and the Congo Basin, Arlette Soudan-Nonault, under whose patronage this program will take place.
For 30 years, the WCS has been working closely with the Congolese government, helping to lay the scientific groundwork for the creation of the Nouabale-Ndoki National Park in 1993; the creation of the Ntokou-Pikounda National Park in 2012; the creation of the Ogooué-Leketi National Park in 2018; and, most recently, the creation of three marine protected areas.
Many sites in the Congo could qualify as KBAs, including under criterion C, which calls for the inclusion of outstanding examples at the global scale of still-natural and intact places that maintain fully functional ecosystems, essentially undisturbed by significant industrial human influence, such as Nouabalé-Ndoki National Park and Lac Télé Community Reserve, managed by the WCS since 1993 and 2001 respectively.
Other sites may also meet A1E criterion for their importance to the survival of critically endangered endemic species, such as Bouvier's Red Colobus, Piliocolobus bouvieri.
To ensure the effectiveness of this program, WCS Congo was able to count on the support of the KBA Secretariat, as well as the support of WCS Canada, one of the world’s leading program when it comes to the on-the-ground identification of KBAs, which just last week announced the first 73 sites that have been officially given KBA status across Canada while unveiling another more than 900 sites still being considered.
“This is one of the ways that WCS is working to advance critical international conservation commitments – by sharing practical knowledge about how to make conservation gains on the ground,” declared WCS Canada’s technical coordinator for the KBA project, Chloé Debyser.
Congo’s interest in the KBA process is a sign of the country’s commitment to addressing the global biodiversity crisis in the lead up to the fifteenth meeting of the Conference of the Parties to the Convention on Biological Diversity, which will be held from December 7 to 19 this year in Montreal, Canada. Minister Arlette Soudan-Nonault explained that the KBA process will be an important tool for helping the country meet the “30 x 30” target of protecting 30% of the Republic of the Congo’s lands and waters by 2030.
Brazzaville, République du Congo | 31 Octobre 2022
La Wildlife Conservation Society (WCS) s'appuie sur sa collaboration de longue date avec le gouvernement de la République du Congo pour travailler ensemble à l'identification des Zones Clés pour la Biodiversité (ZCB) dans un pays incroyablement riche en biodiversité. Le programme d'identification des ZCB, d'une durée d'un an, lancé officiellement le 11 octobre, vise à fournir la localisation précise des lieux qui contribuent de manière significative à la persistance de la biodiversité au niveau mondial.
Les ZCB peuvent accélérer les efforts visant à inverser la perte de la nature en fournissant notamment aux gouvernements et aux acteurs du secteur privé un ensemble de données précises permettant de mieux informer les futures décisions d'aménagement du territoire et leur impact sur la biodiversité. Les ZCB visent également à permettre aux entités susceptibles d'avoir un impact négatif sur la nature d'éviter ou de réduire ces impacts dans les endroits où ils seraient les plus destructeurs.
Pas moins de 6 ministères étaient présents lors du lancement du programme à Brazzaville, parmi lesquels les ministères des hydrocarbures, des mines et de l'économie forestière. « Ceci est la preuve de notre engagement en faveur de la conservation de la biodiversité des écosystèmes terrestres, aquatiques, littoraux et marins de notre pays », a déclaré à cette occasion la ministre de l'Environnement, du Développement durable et du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault, sous le patronage de laquelle ce programme se déroulera.
Depuis 30 ans, la WCS travaille en étroite collaboration avec le gouvernement congolais, a posé les bases scientifiques de la création du Parc National de Nouabale-Ndoki en 1993, de la création du Parc National de Ntokou-Pikounda en 2012, de la création du Parc National d'Ogooué-Lékéti en 2018 et, plus récemment, de la création de trois aires marines protégées.
De nombreux sites au Congo pourraient devenir des ZCB, notamment grâce au critère C, qui inclut les lieux naturels exceptionnels qui préservent des écosystèmes pleinement fonctionnels, essentiellement intacts, inaltérés par l’Homme, comme le parc national de Nouabalé-Ndoki et la réserve communautaire du Lac Télé, gérés par la WCS, respectivement depuis 1993 et 2001.
D'autres sites pourraient également être éligibles au regard du critère A1E, en raison de leur importance pour la survie d'espèces endémiques en danger critique d'extinction, comme le colobe rouge de Bouvier, Piliocolobus bouvieri.
Pour mener à bien ce programme, la WCS Congo peut compter sur le soutien du Secrétariat de la KBA, ainsi que sur l’appui de la WCS Canada, l'un des programme les plus performant au monde en matière d'identification des ZCB, qui a annoncé la semaine dernière les 73 premiers sites ayant reçu officiellement le statut de ZCB, et dévoilé plus de 900 autres sites encore à l'étude.
« C'est l'une des façons dont la WCS s'efforce de faire progresser les engagements internationaux essentiels en matière de conservation : en partageant des connaissances pratiques sur la façon de mieux protéger la biodiversité sur le terrain », a déclaré la coordinatrice technique du projet ZCB de la WCS Canada, Mlle Chloé Debyser.
L'intérêt du Congo pour le processus ZCB est un signe de l'engagement du pays à faire face à la crise mondiale de la biodiversité, à l’approche de la quinzième réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la Diversité Biologique, qui se tiendra du 7 au 19 décembre à Montréal, au Canada. La Ministre Arlette Soudan-Nonault a expliqué que le processus ZCB sera un outil important pour aider le pays à atteindre l'objectif "30 x 30" : protéger 30% des terres et des eaux de la République du Congo d'ici 2030.
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WCS Congo contacts:
Richard MALONGA - Country Director - rmalonga@wcs.org, tel: +242 06 712 05 00
Clément KOLOPP – Communications officer - ckolopp@wcs.org , tel: +242 05 383 39 63
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