Parc National De Nouabalé-ndoki

  • Le Parc National de Nouabalé-Ndoki s'étend sur 4000 sqkm de forêt d'une exceptionellement haute intégrité, une canopée fermée à perte de vue à l'exception de clairière comme celle de Wali, qui accueille un lac forestier très apprécié des éléphants, bordé par un mirador d'observation. 

    Photo : Scott Ramsay
  • Symbole du parc, Kingo a été le premier gorille à dos argenté à être habitué à la présence humaine à des fins d'observation et de collecte de données scientifiques, afin d'améliorer notre compréhension des écosystèmes du parc pour mieux les protéger. 

    Photo : Kyle de Nobrega
  • À l'abri de grands arbres, la base du Parc National de Nouabalé-Ndoki, accolée au village de Bomassa, abrite plusieurs dizaines de bâtiments accueillant près de 200 staffs, chercheurs, écogardes, administrateurs, animateurs, logisticiens, dévoués à sa protection. 

    Photo : Thomas Nicolon
  • Le parc dispose de trois sites de recherche à long terme qui étudient les écosystèmes et la faune sauvage du bassin du Congo, produisant des données d'observation uniques couvrant plus de vingt ans, essentielles pour comprendre les cycles de vie de la mégafaune. 

    Photo : Kyle de Nobrega
  • Dans les arbres surplombant le siège du parc à Bomassa, des singes colobes guérézas observent avec curiosité les humains affairés. 

    Photo : Scott Ramsay
  • Le Parc National de Nouabalé-Ndoki est un site de recherche de premier plan, en particulier sur les primates, où l'observation directe permet de collecter des données inestimables, et permet un tourisme responsable qui génère des revenus pour la conservation et pour les communautés qui la soutiennent. 

    Photo : Scott Ramsay
  • Les perroquets gris sont une espèce emblématique de la forêt du bassin du Congo. Ils sont victimes du braconnage pour alimenter le commerce des animaux de compagnie et sont classés comme espèce en voie de disparition depuis 2016. 

    Photo : Scott Ramsay
  • Longtemps considérés comme une seule espèce, les éléphants d'Afrique sont désormais distingués entre éléphants de forêt et éléphants de savane depuis 2021. Dès qu'ils sont devenus une espèce distincte, les éléphants de forêt ont immédiatement été classés comme espèce en danger critique d'extinction, ayant perdu 62 % de leur population entre 2002 et 2011. 

    Photo : Will Burrard-Lucas
  • Le parc national de Nouabalé-Ndoki est bordé par deux villages, Makao et Bomassa, dont les habitants jouent un rôle actif dans sa gestion. La majorité des ménages de ces villages comptent au moins un membre employé par le parc, qui crée des opportunités d'emploi vitales dans cette région reculée du Congo. 

    Photo : Clément Kolopp
  • Les premières observations détaillées de primates sauvages utilisant différents types d'outils ont été réalisées à Ndoki, où l'observation des chimpanzés a fourni une mine d'informations sur ces cousins de l'homme, qui utilisent des outils pour se nourrir de fourmis, de termites et de miel. 

    Photo : Sean Brogan
  • Le Parc dispose d’écogarde chargés de l’application des lois congolaises de protection de la faune, sous l’autorité du Ministère de l’Économie Forestière. Depuis la signature d'un partenariat public-privé entre le ministère et WCS en 2014, de nouveaux financements ont permis de mieux fournir, équiper et former ces écogardes. 

    Photo : Kyle de Nobrega
  • En 2024, le parc est devenu la première Zone Clé pour la Biodiversité au monde reconnue pour son intégrité écologique, selon les normes établies par l’UICN (Union internationale pour la conservation de la nature). 

    Photo : Kyle de Nobrega